Interview avec Issa: Au son de l’âme kurdeVendredi 1 mars 2019 à 11h00

Onorient.com |  Par Malika Ziane

A Paris, l’Institut kurde perpétue la richesse de cette culture. Parmi les personnes qui s’investissent, il y a Issa Hassan, musicien, compositeur et chanteur libanais d’origine kurde.


  

Syrie: fragilisés par le retrait américain, les Kurdes se tournent vers les EuropéensMardi 19 février 2019 à 17h31

Lefigaro.fr | Par Adrien Jaulmes 

REPORTAGE - Les Kurdes, qui ont fourni l'essentiel des forces terrestres à la coalition internationale dans la guerre contre l'EI, se retrouvent seuls face à la Turquie après l'annonce de Donald Trump de retirer au plus vite les forces américaines déployées en Syrie.


  

Le Parti socialiste appelle à un sursaut de la France dans la protection des Kurdes de SyrieJeudi 14 février 2019 à 17h38

Parti-socialiste.fr

Alors que les États-Unis ont annoncé le retrait prochain de leurs troupes présentes en Syrie dans le cadre de la Coalition internationale contre l’organisation terroriste État Islamique, le Parti socialiste exprime sa vive inquiétude pour le sort du peuple kurde.


  

Rémi FERAUD interroge le gouvernement sur le sort des Kurdes de SyrieJeudi 14 février 2019 à 17h34

  

La France doit condamner « la réalité brutale et cruelle de la dictature des mollahs » en IranMercredi 13 février 2019 à 15h29

lemonde.fr | Tribune | Collectif | Publié le 11 février 2019

Dans une tribune au « Monde », seize personnalités – journalistes, écrivains, scientifiques, hommes et femmes politiques – dont Daniel Cohn-Bendit, Arno Klarsfeld ou encore Corinne Lepage estiment que le quarantième anniversaire de la République islamique doit être l’occasion pour la France de soutenir les aspirations à la liberté du peuple iranien face à une répression implacable.

 


  

 Syrie: l'Europe doit œuvrer pour protéger les KurdesMercredi 6 février 2019 à 13h55

Libération.fr | Par Kendal Nezan, Président de l’Institut kurde de Paris

Le retrait des forces américaines de Syrie pourrait avoir des conséquences dévastatrices pour les Kurdes ainsi que pour la crédibilité et la sécurité des pays occidentaux. Une zone de protection pour les Kurdes est nécessaire.


  

« La France joue un rôle majeur pour éviter le pire au Kurdistan de Syrie »Lundi 4 février 2019 à 16h47

lemonde.fr | Par Patrice Franceschi (Ecrivain) | 31/01/2019

Tribune. Le 19 décembre, Donald Trump, dans une invraisemblable foucade, annonçait le retrait sans délais des soldats américains déployés dans le nord de la Syrie – et par conséquent l’abandon brutal de nos alliés kurdes des Forces démocratiques syriennes (FDS) dans le combat qu’ils menaient avec nous contre les islamistes. Il est intéressant de revenir aujourd’hui sur cet épisode déroutant afin de comprendre pour quelles raisons il n’a pas eu les suites tragiques que tout le monde annonçait.

 


  

 Les femmes yézidies interpellent la communauté internationaleJeudi 24 janvier 2019 à 16h52

Lcp.fr | Un récit de Maité Frémont.

Peuple historiquement persecuté, les yézidis ont été les premières victimes de Daech. Des femmes, parmi lesquelles des ex-otages et esclaves sexuelles de l’organisation terroriste, ont choisi de témoigner, et appellent la communauté internationale à réagir, alors que trois mille femmes se trouveraient encore dans les geôles de l’État islamique.


  

Appel au Président de la République : ne laissons pas nos alliés kurdes se faire massacrer en SyrieMardi 15 janvier 2019 à 15h14

Jclagarde.fr

Nous, parlementaires de différents groupes politiques, lançons un appel au Président de la République et au Gouvernement pour qu’ils renforcent le soutien de la France aux forces kurdes de Syrie et leurs alliés non kurdes au sein des FDS (Forces Démocratiques Syriennes).


  

Kurdistan syrien : Réalité politique ou utopie ?Mardi 15 janvier 2019 à 12h33

Moyen-Orient Magazine | Guillaume Fourmont | N° 41 janvier-mars 2019

Dans le contexte de la guerre secouant la Syrie depuis 2011, une expérience politique a fait son apparition dans le nord du pays : en novembre 2013, les Kurdes y déclaraient l’autonomie du Rojava ou « Kurdistan occidental ». C’est une sorte de revanche sur l’histoire (p. 18 et 24) pour un peuple marginalisé par Damas, mais les défis sont nombreux. Si l’un des objectifs est politique, aspirant notamment à une démocratie communaliste et à la réconciliation des communautés de la région, l’enjeu est aussi économique (p. 50) : comment rendre viable un territoire non reconnu internationalement et dépendant militairement de l’aide américaine ? Comment gérer un « État » (p. 38) face à des puissances régionales impliquées de près ou de loin dans une guerre qui n’en finit pas (p. 30) ?